Pendant ce temps là

Pendant ce temps là dans la vie des Y’IN.

Bref, il y a peu de temps je m’en suis retourné chez moi. Là un membre de mon fan club m’a posé une question.

Bon, toi qui es bon sans être casse-bonbon peux-tu nous donner un exemple de ce qui serait une pensée mort née tout bonnement ?

Je réfléchis donc quelques instants, histoire de ne pas lui donner un exemple qui remonte à Mathusalem d’une part, et qui soit pertinent d’autre part.

Tic-tac encore un tic puis un tac, je me lance.

Klaus Schwab tu connais ?

Il a écrit un truc qui a fait le tour de la planète style : « vous serez propriétaire de rien, mais vous serez heureux ». Je te confirme qu’il s’adressait à toi, à moi et à tous les autres péquins qui peuplent cette bouboule.

D’abord soyons francs il y a comme un gros « hic ».

Sur le plan purement logique soit on est heureux parce que l’on ne possède rien et par conséquent lui qui possédera tout devrait être de facto malheureux, soit il nous prend toi et moi pour des bananes.

Je me « Klaus » ou je me gausse à toi de choisir.

Pour autant cela n’en fait pas une pensée mort née. C’est tout au plus un truc à la con.

Alors qu’est ce qui en fait une pensée mort née ?

Plusieurs éléments.

Premièrement cet homme sait manifestement ce qui me rend heureux. Le fait qu’il confond bien évidemment satisfaction des désirs et bonheur, comment peut-il savoir où réside mon bonheur ?

Tu peux me le dire ? Non ? Bon c’est tout bonnement absurde. Il n’y a rien à ajouter.

Deuxièmement et c’est là que l’on rentre dans l’absurde il veut me (nous) convaincre qu’il a raison pour enfin m’obliger à vivre selon l’idéologie qui est la sienne.

C’est à cet instant que c’est mortibus.

Ce qu’il faut bien comprendre et retenir. C’est que toute idéologie est une construction du mental et en tant que telle, elle ne peut en aucun cas appréhender la globalité de ce qui est.

En outre, toute personne qui s’en remet à une idéologie, quelle qu’elle puisse être se réfère immanquablement à une construction mentale, gravée dans le marbre et qui donc n’évolue pas. Elle n’évolue pas quand bien même les circonstances du monde, elles, changent.

Cela se termine toujours par un grand écart qui, par la force des choses, finit par un effondrement. Les idéologies s’effondrent du poids de leur inadaptation à l’environnement, entre autres.

Bref, tu l’auras compris, une idéologie par nature c’est un truc mort né d’autant plus quand on veut l’imposer aux autres.

À la marge, quand on s’intéresse un chouia aux choses de ce monde, c’est qu’aujourd’hui un petit groupe d’individus possède la finance dans sa globalité ainsi que les entreprises des secteurs clefs. En un mot, du prix des biens à ta capacité de les acheter tu es totalement ficelé. Ficelé comme un saucisson. C’est ti pas mignon ?

Ainsi, alors que le prix du Brent est inférieur au prix qu’il était avant l’intervention russe et que l’euro s’est sensiblement ragaillardi, tu payes ton essence plus chère qu’avant cette date. C’est ce que l’on appelle le « greedflation » où l’inflation par la cupidité. Les caisses de l’état t’en remercient ainsi que les bénéfices de Total. Énorme bras d’honneur aux gilets jaunes.

Afin de boucler la boucle autant dire quelques mots de l’idéologie mort née à l’origine de la saillie de Klaus Schwab.

O’Brother je t’ai trouvé un texte qui illustre assez bien pourquoi il importe de réfléchir et de ne surtout plus croire au Santa Klaus.

Le Club de Rome : Comment l’hystérie climatique est utilisée pour créer une gouvernance mondiale

Publié le juin 5, 2023 par hervek

Par Brandon Smith – Le 19 mai 2023 – Source Alt-Market

Au début des années 1970, les États-Unis et une grande partie du monde occidental étaient plongés dans une crise économique stagflationniste. Nixon a complètement retiré le dollar de l’étalon-or en 1971 avec l’aide de la Réserve fédérale (ou peut-être sous la direction de la Fed), ce qui a finalement intensifié les pressions inflationnistes. Le boom de l’après-guerre en Europe s’est brutalement arrêté, tandis que les prix des biens (et du pétrole/essence) aux États-Unis ont grimpé en flèche jusqu’en 1981-1982, lorsque la Réserve fédérale a augmenté les taux d’intérêt jusqu’à environ 20% et a délibérément provoqué une récession.

Il est intéressant de noter que le FMI a créé le système des DTS en 1969, juste avant la suppression de l’étalon-or (ces mêmes DTS que le FMI s’apprête à utiliser comme fondement d’un mécanisme mondial de monnaie numérique). Quant au Forum économique mondial, il a été fondé en 1971.

Cette période est souvent dépeinte dans les films comme une ère heureuse de disco, de drogues, de hippies et de rock n’ roll, mais la réalité est que le début des années 1970 a marqué le début de la fin pour l’Occident – c’est le moment où nos fondations économiques ont été sabotées et où l’aisance de la classe moyenne a été lentement, mais sûrement, volée par l’inflation.

Au milieu de ce “malaise” économique, que Jimmy Carter qualifiera plus tard de “crise de confiance”, les Nations unies et les tables rondes globalistes associées travaillaient d’arrache-pied à

l’élaboration d’un plan visant à convaincre la population d’adhérer à la centralisation du pouvoir à l’échelle mondiale. Leurs objectifs étaient plutôt directs. Ils voulaient

  • Une justification pour le contrôle gouvernemental de la population humaine.
  • Le pouvoir de limiter l’industrie.
  • Le pouvoir de contrôler la production d’énergie et de dicter les sources d’énergie.
  • Le pouvoir de contrôler ou de limiter la production alimentaire et l’agriculture.
  • La capacité de microgérer la vie des individus au nom d’un “bien commun” défini ultérieurement.
  • Une société socialisée dans laquelle le droit individuel à la propriété est abandonné.
  • Un système économique mondial unique qu’ils géreraient.
  • Un système monétaire unique.
  • Un gouvernement mondial unique gérant une poignée de régions distinctes.

L’une des citations les plus révélatrices de l’ordre du jour est celle de Strobe Talbot, secrétaire d’État adjoint de l’administration Clinton, qui a déclaré dans Time Magazine que :

Au cours du prochain siècle, les nations telles que nous les connaissons seront obsolètes ; tous les États reconnaîtront une autorité mondiale unique… La souveraineté nationale n’était pas une si bonne idée après tout.

Pour comprendre le fonctionnement de cet agenda, je vous propose une citation de Richard Gardner, membre du Council on Foreign Relations, dans un article paru dans le Foreign Affairs Magazine en 1974 et intitulé The Hard Road To World Order (La voie difficile vers l’ordre global) :

En bref, la “maison de l’ordre global” devra être construite de bas en haut plutôt que de haut en bas. Cela ressemblera à une grande “confusion bourdonnante”, pour reprendre la célèbre description de la réalité par William James, mais un contournement de la souveraineté nationale, en l’érodant morceau par morceau, permettra d’accomplir bien plus que l’assaut frontal à l’ancienne.

En d’autres termes, les globalistes savaient que la progressivité serait le seul moyen de parvenir à une structure de pouvoir global unique qui gouverne OUVERTEMENT, plutôt que de dissimuler le pouvoir des élitistes derrière des organisations clandestines et des politiciens fantoches. Ils veulent un empire mondial dans lequel ils deviendront les “rois philosophes” oints décrits dans la République de Platon. Leur ego narcissique ne peut s’empêcher d’aspirer à l’adoration des masses qu’ils détestent secrètement.

Mais même en procédant par étapes, ils savent que le public finira par comprendre le plan et cherchera à résister à l’érosion de nos libertés. Établir un empire est une chose, le conserver en est une autre. Comment les globalistes pourraient-ils sortir de leur placard autoritaire, éliminer les libertés individuelles et gouverner le monde sans une rébellion qui finirait par les détruire ?

Le seul moyen pour qu’un tel plan fonctionne est que les gens, les paysans de cet empire, embrasse leur propre esclavage. Le public devrait être amené à considérer l’esclavage comme une question de devoir solennel et de survie, non seulement pour eux-mêmes, mais pour l’espèce tout entière. Ainsi, si quelqu’un se rebelle, il sera considéré comme un monstre par la ruche. Il mettrait en danger l’ensemble de la collectivité en défiant la structure du pouvoir.

Ainsi, les globalistes gagnent. Pas seulement pour aujourd’hui, mais pour toujours, car il n’y aurait plus personne pour s’opposer à eux.

Nous avons eu un avant-goût de cette forme de guerre psychologique lors de la peur de la pandémie, au cours de laquelle on nous a dit qu’un virus avec un taux de létalité de 0,23 % suffisait à effacer la majorité de nos droits humains. Heureusement, un groupe suffisamment important de personnes s’est levé et a lutté contre les obligations et les passeports sanitaires. Cela dit, les globalistes ont l’intention d’exploiter un programme beaucoup plus vaste, axé sur le “bien commun”, à savoir la soi-disant “crise climatique”.

Pour être clair, il n’y a AUCUNE preuve d’une crise climatique causée par les émissions de carbone ou de gaz à effet de serre produites par l’homme. Aucun événement météorologique ne sort de l’ordinaire par rapport à la chronologie historique du climat de la Terre. Aucune preuve ne vient étayer les théories relatives au “point de basculement” des températures. En outre, la température de la Terre a augmenté de moins de 1°C en 100 ans. Les relevés de température officiels ne remontent qu’aux années 1880, et c’est cette période étroite que les climatologues financés par les Nations unies et les gouvernements utilisent comme point de référence pour leurs affirmations.

J’explique pourquoi il s’agit d’une science frauduleuse dans mon article intitulé La peur des cuisinières à gaz est une fraude créée par les partisans autoritaires du changement climatique. Le fait est que l’ONU a encouragé l’hystérie autour d’un faux scénario climatique apocalyptique, tout comme le WEF et l’OMS ont encouragé l’hystérie et la peur autour d’une non-menace comme la crise Covid. Tout a commencé au début des années 1970 avec un groupe lié à l’ONU, le Club de Rome.

Les globalistes ont comploté pour utiliser l’environnement comme prétexte à la centralisation depuis au moins 1972, date à laquelle le Club de Rome a publié un traité intitulé “The Limits Of Growth” (“Les limites de la croissance”). En finançant une étude limitée de l’industrie et des ressources dans le cadre d’un projet conjoint avec le MIT, les conclusions semblaient avoir été écrites bien à l’avance : la fin de la planète était proche à moins que les nations et les individus ne sacrifient leur souveraineté. Cela arrangeait bien les globalistes qui finançaient l’étude…

Vingt ans plus tard, ils publieront un livre intitulé La première révolution mondiale. Dans ce document, ils discutent spécifiquement de l’utilisation du réchauffement climatique comme moyen de mettre en place une gouvernance supranationale :

En cherchant un ennemi commun contre lequel nous pourrions nous unir, nous avons eu l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d’eau, la famine et d’autres problèmes similaires feraient l’affaire. Dans leur globalité et leurs interactions, ces phénomènes constituent en effet une menace commune à laquelle il faut faire face tous ensemble. Mais en désignant ces dangers comme l’ennemi, nous tombons dans le piège contre lequel nous avons déjà mis en garde nos lecteurs, à savoir confondre les symptômes avec les causes. Tous ces dangers sont dus à l’intervention de l’homme dans les processus naturels, et ce n’est que par un changement d’attitude et de comportement qu’ils peuvent être surmontés. Le véritable ennemi est donc l’humanité elle-même.

En faisant de l’existence même de l’humanité la grande menace, les globalistes entendent fédérer le public autour de l’idée qu’il faut se maîtriser. En d’autres termes, le public devrait sacrifier ses libertés et se soumettre au contrôle, convaincu que l’espèce humaine est trop dangereuse pour qu’on lui accorde la liberté.

L’émission d’information suivante, diffusée par l’Australian Public Broadcasting Service, a été diffusée en 1973, peu de temps après la création du Club de Rome. Elle est étonnamment directe quant aux objectifs de l’organisation :

(Je rappelle qu’il est possible pour ceux qui ne comprennent pas la langue de shakspeare d’avoir une traduction automatique, choisir le français dans les paramètres de la vidéo)

Que pouvons-nous déduire de cette émission et de son message ? Les globalistes veulent avant tout obtenir deux résultats spécifiques : la fin de la souveraineté nationale et la fin de la propriété privée par le biais d’un minimalisme encouragé par la société. Ce sont exactement les mêmes objectifs que ceux définis par le Club de Rome dans les années 1970 qui guident aujourd’hui les politiques de l’ONU et du Forum économique mondial. Le concept d’“économie de partage” que Klaus Schwab et le WEF promeuvent souvent avec fierté n’a pas été imaginé par eux, mais par le Club de Rome il y a 50 ans.

C’est une prophétie qui s’accomplit d’elle-même : Ils passent un demi-siècle à inventer une crise, à susciter la terreur du public, puis à proposer les solutions qu’ils voulaient imposer il y a des décennies.

En fin de compte, l’agenda climatique n’a rien à voir avec l’environnementalisme et tout à voir avec l’économie. Le plan a été lancé au milieu d’une crise stagflationniste bien réelle, à un moment où la classe moyenne avait le plus peur de l’avenir et où les prix augmentaient rapidement. Cette crise n’était pas due à la rareté des ressources, mais à la mauvaise gestion du système financier. Ce n’est pas une coïncidence si le point culminant du programme de lutte contre le réchauffement climatique a lieu aujourd’hui, au moment même où une nouvelle stagflation s’annonce.

Le Club de Rome n’est plus qu’une coquille vide remplie de hippies stupides, probablement parce que l’ONU et d’autres groupes de réflexion globalistes ont repris le rôle que le groupe jouait auparavant. Cependant, l’ombre du Club originel est toujours présente et sa stratégie d’alarmisme climatique est actuellement utilisée pour justifier la suppression croissante de l’énergie et de l’agriculture par les gouvernements.

Si le public ne les arrête pas, les contraintes totalitaires en matière de carbone deviendront la norme. La prochaine génération, qui vivra dans une pauvreté artificielle, apprendra dès sa plus tendre enfance que les globalistes ont “sauvé le monde” d’une calamité qui n’a jamais existé. On leur dira que l’asservissement de l’humanité est une chose dont il faut être fier, un cadeau qui maintient l’espèce en vie, et que quiconque remet en question cet esclavage est un méchant égoïste qui veut la destruction de la planète.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone

En conclusion, tu me tiens je te tiens par la Klaus… Barbie… chette comme l’a si bien dit Ken le fiancé mondialement connu de Barbie.

Écrit par Y’OUT

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